La solution de l'autpartage a été abordée comme toutes les autres solutions en matière de mobilité d'une façon cloisonnée. Ce cloisonnement concerne tous les
aspects de notre vie.
Le lobbie de l'automobile et les politiciens concernés ont rapidement récupéré cette solution pour la privatiser, la morceler.
L'autopartage, au lieu de devenir une solution de civilisation, s'est transformé en une feuille du "mille-feuilles-jamais-terminé".
Loin de contribuer à résoudre, en partie, la question de l'usage de l'automobile, cette idée de partager cet outil va se transformer en son contraire
sous le contrôle de ceux qui ont intérêt à marginaliser ce choix de société.