L'écologie, c'est partir de l'existant. Les loueurs de voitures devront devenir dans un futur proche les principaux moteurs de l'autopartage en dédiant à ce choix de civilisation une partie de leur flotte dans chaque cité.
Le moment venu, l'Internationale économique de l'écologie et de la biofinance, avec les constructeurs et les loueurs devra négocier un pourcentage des flottes dédiées à l'autopartage suivant l'organisation des différents réseaux. Combien de voitures Avis-Hertz-Ada restent inutilisées dans la journée sur les parkings?
Comme l'écrit Hosea Jaffe dans son livre "Automobile, pétrole, impérialisme" : page 82 "ces véhicules urbains seront des propriétés collectives, données en location à des entreprises privées qui les mettront à disposition des citadins."
La crise du principal pillier industriel de l'économie capitaliste, l'automobile, constitue pour nous, militants révolutionnaires de l'écologie et de l'économie, l'opportunité d'imposer une nouvelle organisation en partant des réels besoins de notre civilisation.
L'Internationale économique de l'écologie et de la biofinance agira avec ses faibles moyens pour montrer concrètement que le présent est toujours une projection de l'avenir. Ceci dit, compte tenu de nos faibles moyens et de l'hypocrisie des politiques, nous savons d'ores et déjà que nos propos, nos concepts, notre expérimentation seront récupérés, manipulés, pour être transformés en leur contraire par des lobbies privés ou associatifs contre l'intérêt général.
Cela signifie que construire une civilisation est un combat permanent qui ne peut partir que de la conscience et non de l'apparent.
La location de voitures entre particuliers prend son essor :
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