"Elements of the nature and properties of soils", Harry Olivier Buckman. Nyle C. Brady, 1922
"Methods of soil analysis", Richard W.Weaver, S.H. Mikelson, 1994
"Soils in our enironnement ", Duane T. Gardins, Raymond W. Miller. 2008
Citation tirée du « Monde secret du sol » de Patricia Touyre sur « LA SYMBIOSE » : Page 34
« La symbiose, mutualisme intime et équilibré entre deux organismes,
aboutit à une harmonie où chacun des acteurs tire avantage des capacités de l'autre au point
qu'ils deviennent inséparables.
Ce mode de vie particulier est répandu mais il passe souvent inaperçu
parce qu'il donne un résultat que l'on peut qualifier de « parfait » écologiquement.
C'est l'aboutissement à « un équilibre des forces, puis à une coopération entre belligérants »,
comme l'écrit Jean-Marie Pelt.»
Et,
pour celles et ceux qui ont envie d'aller plus loin au sujet de l'Appropriation du sol
nous trouvons à la page 178 de la thèse de doctorat de Peter Anthony RAINE,
intitulée en France
“Le chaman et l'écologiste” (consultable en partie uniquement)
« La propriété des terres devint une désignation officielle en Angleterre en 1660,
lorsque les ducs féodaux furent abolis.
Mais ce n'est pas avant 1690 que la propriété entra dans l'arène publique
en tant que question politique, morale,économique et philosophique.
Cela fut presque entièrement le fruit du travail d'un philosoqphe moral anglais, John LOCKE (1632-1704).
La tâche principale de Locke se divise en trois parties :
produire une justification morale pour la clôture des terres,
définir ce en quoi consiste le droit de propriété,
et présenter des arguments pour défendre les droits des Anglais immigrés en Amérique
à coloniser et à aliéner activement les terres des peuples améridiens de l 'Amérique du Nord.
Locke a fondé...»
et au sujet de « l'évolution des droits de propriété » Peter RAINE site Jean-Jacques ROUSSEAU page 171 :
« Le premier qui ayant enclos un terrain s'avisa de dire, ceci est à moi, fut le vrai fondateur
de la société civile. Que de crimes, de geurres, de meurtres, que de misères et d'horreurs,
n'eût point épargnés au Genre humain celui qui arrachant les pieux ou comblant le fossé,
eût crié à ses semblables : « Gardez-vous d'écouter cet imposteur ; vous êtes perdus,
si vous oubliez que les fruits sont à tous, et que la Terre n'est à personne. »
tiré du « Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes.
Gallimard, Paris, 1992,page 87. »
Page 200 et 201 : « Propriété de la terre »
« Le mot fidjien pour « terre », vanua, fait partie d'une entité physique, culturelle,
sociale et spirituelle plus grande appelée Vanua.
La « propriété » de la terre en termes d'aliénation personnelle était inconcevable
pour les peuples du Colo avant le contact avec les Européens.
Pour eux, la terre et ses habitants formaient une unité inséparable.
La vie et la terre étaient tissées ensemble à un point tel que
la séparation d'avec le Vanua aurait été l'équivalent de dire adieu à une partie vie.1
1.Ravuvu, A., Vaka i Taukei : The fijian Way of Life,
Institue of Pacific of the University of the South Pacific, Suva, 1983,p.70.
«Tout progrès de l'agriculture capitaliste est un progrès dans l'art,
non seulement de voler le travailleur, mais de voler le sol ;
tout progrès consistant à augmenter la fertilité d'un sol pour un certain lasps de temps
est un progrès dans la destruction de ce qui alemente dans le long terme cette fertilité. »